La SEC enquête sur Binance concernant son jeton BNB
La SEC lance une nouvelle enquête sur Binance pour savoir si son jeton BNB était un titre lors de son ICO 2017.
La SEC a lancé une enquête sur Binance pour déterminer si son jeton BNB était un titre lors de son offre initiale de pièces (ICO) en 2017. Les pièces BNB sont principalement utilisées pour payer des frais sur Binance, le plus grand échange cryptographique de la planète, en ce moment. La société fait également face à une autre enquête de la SEC, lancée en février, sur d’éventuels liens entre son fondateur et les deux sociétés commerciales. Le ministère de la Justice, l’IRS et la CFTC ont également lancé des enquêtes l’année dernière pour plusieurs délits possibles, notamment des délits d’initiés et des manipulations de marché.
La SEC lance une nouvelle enquête sur Binance
Un porte-parole de Binance a insisté pour réitérer que la société « continue de se conformer à toutes les exigences fixées par les régulateurs ». Ces dernières années, la Securities and Exchange Commission a renforcé son application des ICO qui n’ont pas été annoncées à l’agence avant qu’elles ne soient rendues publiques. Cette enquête vise également à déterminer si Binance.US, une filiale lancée aux États-Unis en 2019 après l’interdiction de cette dernière, est une véritable entité distincte de Binance basée en Chine.
Pour savoir si son token BNB était un titre lors de son ICO en 2017
Selon une enquête récemment publiée par Reuters, Binance aurait traité au moins 2,35 milliards de dollars de transactions illégales, de drogue, de piratage et d’autres activités frauduleuses. L’article examine également certains des hacks de Binance, en particulier du groupe Lazarus en Corée du Nord. Dans un article de blog, l’échange a répondu que l’article en question était « plein de mensonges », mais lorsque Reuters a demandé à Binance si la plateforme avait effectivement pris des mesures pour contrer les futures activités illégales, l’échange est resté silencieux. « Nous regrettons que Binance ait refusé notre demande d’entretien », a écrit Angus Berwick de Reuters.
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